CAMP D ADOS

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il y a 6 ans

Partie 1

Je m'appelle Hugo, et j'étais jeune au moment des faits que je vais vous raconter ici... Ce sont quelques souvenirs d'un camp de vacances dans le Verdon auquel mes parents m'avaient inscrit il y a quelques années, durant lequel j'ai développé une attirance indéfectibles pour les couches culottes. J'ai pensé qu'il pourrait être sympa de les écrire, d'une part pour ne pas les oublier moi-même (j'ai parfois l'impression d'avoir vécu un délire hallucinatoire...), d'autre part car que l'enchaînement hors-norme de situations intenses pourrait fortement intéresser d'autres « diaper-lovers » !

Sans exagérer, je crois que jusqu'ici j'avais toujours été le fils modèle dont mes parents rêvaient. Travaillant tous les deux dans le domaine des assurances, ils n'avaient strictement aucun problème financier, et comme tout bon enfant unique, je n'avais jamais manqué de rien. En échange, comme liés par un accord tacite, j'avais toujours eu de bons résultats à l'école sans trop forcer, et dieu sait que ça comptait pour eux. Globalement, j'étais tout à fait banal pour mon âge. Passionné de rock alternatif et d'électro, plutôt geek, j'avais un large cercle d'amis avec lesquels partager toutes les activités d'un ado parisien normal. Bref, j'étais un garçon ordinaire. Sauf un truc.

Je n'avais jamais réussi à être vraiment propre la nuit.

Toutes les deux, trois, ou quatre nuits dans le meilleur des cas je me réveillais trempé, juste quelques secondes trop tard. Abattu, j'effectuais toujours le même rituel, dans un état somnambulesque. Je me débarrassais de mon pyjama trempé, j'en enfilais rapidement un autre, puis j'étendais une serviette de bain sur l'auréole de pisse histoire de m'isoler de l'humidité du drap de dessous. Je me rendormais en général assez vite, d'un sommeil hélas léger. Le matin j'enfournais les draps et le pyjama sale dans la machine à laver. Parfois ma mère refaisait le lit sans rien dire, parfois c'était moi qui m'en chargeais, en espérant à chaque fois que ce soit le dernier accident de ma vie jeunesse.

Mes parents ne disaient pas grand-chose à ce sujet. Ils s'étaient toujours montrés excessivement compréhensifs - ils compatissaient, m'encourageaient à ne pas désespérer. On avait fait tous les examens nécessaires, et il ressortait que je n'avais strictement aucun problème de vessie. Tout dans la tête, donc. Le « corps médical » garantissait que cela allait partir avec l'âge depuis trois ans au moins. Et moi, je n'en pouvais plus. Mais à part subir, que pourrais-je faire d'autre ? Résigné, j'attendais juste avec impatience que ça passe...

Mon père avait cependant une obsession lourdingue, sans doute issu de son bref passé de militaire : me faire « découvrir la vie en collectivité ». En effet, sans être excessivement solitaire, j'avais une furieuse tendance à passer mes week-end devant Games of Thrones avec Alexis, mon meilleur ami, plutôt qu'à jouer au foot avec des potes dans une atmosphère de fraternité virile. Et ça, commençait à le préoccuper. Craignant sans doute que je finisse par me marier avec mon PC, il n'avait cessé depuis quelques mois de me convaincre de tenter l'expérience de la « vie au plein air » avec « d'autres jeunes ».

L'année dernière, il avait déjà suggéré que je fasse un camp d'ados pendant les grandes vacances. Sur le fond, ça ne m'aurait pas forcément déplu, mais avec mes problèmes de pipi au lit j'avais dit que je ne voyais pas comment ça pourrait bien se passer sur place et ne pas se terminer en humiliation personnelle. Ma mère m'avait soutenu, et il avait convenu au final qu'on en reparlerait l'année prochaine. Or, nous y étions, et rien n'avait changé. Les accidents étaient un peu moins fréquents, mais toujours bien présents. Pour moi il était clair que la situation actuelle était totalement incompatible avec toute activité collective impliquant de passer des nuits avec d'autres personnes de mon âge.

Et pourtant, mon père avait tenu bon, et il avait même finir par à convaincre ma mère. Evidemment, il était hors de question pour eux que je devienne la risée d'une bande de jeunes cons, mais il fallait aussi impérativement que « je m'ouvre aux autres et au monde ». C'est leurs mots, et je me rappelle de mon rire nerveux quand mon père avait terminé son sermon sur la nécessité quasi-absolue de ce dépaysement communautaire. A moins d'une solution magique, je ne voyais pas comment ils auraient pu trouver une solution à l'impasse technique dans laquelle nous nous trouvions...

A SUIVRE

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